Un mariage en Chartreuse
Une envie dévorante d’évasion, soif de grands espaces et de nature sauvage, j’ai toujours rêvé de partir à 4000 milles kilomètres d’ici, au Canada, pays qui m’a toujours fait vibrer.
Et pour autant je n’arrive pas à quitter ma Chartreuse natale qui me comble chaque jour davantage, par sa diversité de paysages et les couleurs qu’elle nous dévoile généreusement à chaque changement de saison.
Est-ce parce que l’arrivée de ma troisième fille m’a permis de me rendre compte des valeurs qui sont essentielles pour moi ? L’authenticité, la qualité des relations humaines et le retour aux choses simples sont pour moi des piliers.
A travers ce moment, j’ai voulu mettre en avant la beauté de ma région, le savoir-faire de ceux qui l’habitent et les qualités aussi bien humaines que professionnelles de chacun des prestataires avec lesquels j’ai collaboré pour ce shooting d’inspiration en plein coeur de ce massif magique.
La Chartreuse, connue dans le monde entier pour sa liqueur et sa couleur verdoyante nous révèle également par son manteau blanc lors de la saison à tort appelée « morte », une toute autre atmosphère remplie d’une vie, certes plus ralentie, mais persistante, éclatante, remplie de contrastes, de caractère et de reliefs.
A tous les futurs mariés qui ont besoin de s’échapper et rêvent d’un dépaysement en amoureux, nous avons pensé à vous et créez ce moment suspendu. Plongez-vous dans ces images qui sortent littéralement des sentiers battus mélangeant les couleurs froides de l’hiver aux ambiances chaleureuses et cocooning des chalets.
(… à suivre dans le numéro 0 !).
Vous vous êtes dis oui sous la neige & dans le froid ❄️ ? … dans un pays nordique ?
Venez racontez votre histoire dans notre numéro de lancement ! Au côté de trois autres témoignages, nous offrons un reportage à l’une ou à l’un d’entre vous ! Et partager avec nos autres mariés, vos ressentis pour inspirer de futurs fiancés !
Écrivez à temoignage @ alafolie-lemag.fr (sans espaces) & l’équipe vous re-contactera pour une interview 😉.
